Résumé de la 4eme et 5eme séance en virtuel :

Le groupe décidèrent de commencer leurs investigations par le commencement !
La taverne « le cochon explosif » et tenter de retrouver Hans Rader, le proprio. D ans le quartier, un jeux morbide est en place. On choisis les meilleurs tireur de légumes avariés sur des prisonniers de Pilori pour une mission de protection. Une bonne ambiance règne et certains marchands se frottent les mains pour pouvoir écouler leur stock invendus.
La taverne affiche porte et volets clos. Vous y pénétrez par l’arrière et tombez sur un spectacle macabre. Les clients qui étaient restés et les cuistots..tous ont été tué.

Récesswinthe y voit l’influence du chaos dans ce massacre. A l’étage, ils se font attaquer par des hommes bêtes aux allures de rats !

Après un rude combat, ils les tuent et emporte l’une des têtes comme preuve.

Dans les sous sols, ils découvrent Rader au milieu de nuées de rats qui l’on dévoré. Un espace maçonné semble donner sur les égouts. Affaiblis par les combats, ils préfèrent repousser l’exploration à plus tard.

Le groupe se sépare. Récesswinthe, Helena et Mehring rentrent à la caserne émettre leur rapport à Andrea Pfeffer.

Guy, Makkar et Paulo flaire une embrouille avec le concours de lancer de légumes et Andor Grimsky.

Il les emmène aux entrepôt Entendaumen mais sur place, Guy, y retrouve une ancienne connaissance, Gruber. Après moult échanges « cordiaux », ils se doutent que quelque chose de pourris se trame dans cet entrepôt. Manque de force et de main d’œuvres, nos représentants du guet rebroussent chemin et se font alpaguer par Henri Viditch un commerçant Marienbourgeois qui leur demande de récupérer des papiers qu’Andor lui a volé. Des bons au porteur et leur promets une belle récompense.
En le pistant jusqu’à la pension de Rugger, il découvre qu’il traite avec un mutant. Ils arrivent à appréhender Andor mais le mutant, connu sous le nom de l’anguille, s’enfuit en blessant mortellement Paulo. Ils purent récupérer les papiers et emmener Andor aux cachots…il craint pour sa vie mnt qu’il a parlé.

Henri Viditch les récompense en leur donnant comme garanti un bon au porteur chacun et les invite à venir le rejoindre à Marienburg pour qu’il puisse honorer sa dette.